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santé connectée

lundi 25 avril 2016

UX design : Comprendre le design d’expérience en 10 images


"L'expérience de l'utilisateur (en anglais, user experience), souvent contracté en expérience utilisateur ou abrégé à l'américaine en UX), est un concept apparu dans les années 2000 pour tenter de qualifier le résultat (bénéfice) et le ressenti de l'utilisateur (expérience) lors d'une manipulation d'un objet fonctionnel ou d'une interface homme-machine (via une interface utilisateur) ..."



dimanche 24 avril 2016

Big data : le ministère de la Santé lance une consultation publique

Dans le cadre de la loi de santé, Marisol Touraine avait promis de favoriser leur accès. Elle prévoit la création d'un « système national des données de santé » (SNDS). Cette base de donnée rassemblerait le système national d'information inter-régime de l'Assurance maladie (Sniiram) et le programme de médicalisation des systèmes d'information des hôpitaux (PMSI). A eux deux, ils représentent 1,2 milliard de feuilles de soins, 500 millions d'actes médicaux et 11 millions d'hospitalisation par an. 
La consultation est ouverte jusqu’au 20 juin, et des conclusions seront rendues au deuxième semestre de cette année. A cette heure, une seule proposition a été émise par un internaute : « permettre de noter les médecins »
http://www.faire-simple.gouv.fr/bigdatasante

Pour en savoir plus sur la notion de "big data"

mercredi 20 avril 2016

Infographie : usage mobile des médecins en 2016

Cette nouvelle édition du baromètre sur les usages du mobile par les médecins a été réalisée en novembre 2015 auprès de 1 402 médecins utilisateurs de smartphones (étude réalisée par questionnaire via e-mail). Synthèse des résultats en infographie :


dimanche 17 avril 2016

Podcast santée connectée sur France Culture

"Nous recevons pour en débattre trois personnes qui allient études médicales et passion de l’informatique : Cécile Monteil , médecin aux urgences pédiatriques, directrice médicale de la start up «Ad- Scientam » et fondatrice de l’association Eppocrate, Alexia Sibony , kinésithérapeute et Présidente de Connected Health Monaco et enfin Antoine Tesnière , médecin anesthésiste-réanimateur à l'hôpital Cochin, directeur du laboratoire iLUMENS, Laboratoire Universitaire Médical d’Enseignement basé sur les technologies Numériques et de Simulation."

samedi 16 avril 2016

Text-mining et santé : Le "google" des effets indésirables des médicaments

Les sites Internet spécialisés (forum santé par ex), où les gens détaillent leurs expériences avec les médicaments sont une véritable mine d’informations (textmining) en matière d’effets indésirables. C’est en tout cas le constat de Stéphane Schück, médecin de santé publique spécialisé en épidémiologie.


Referencement gratuit

L'application Périscope : Et pourquoi ne pas utiliser ce nouvel outil dans un but éducatif et thérapeutique ?

L'application "périscope" est le nouveau joujou 2.0 des ados. Phénomène ou simple gadget ? Le principe est de pouvoir se filmer en tps réel et d'interagir avec d'autres periscopeurs (c un chat video en fait mais parfois à + de 1000 personnes) ! Periscope est une vraie cour des miracles... ça "zap", ça "clash" et se téléscope en permanence sur périscope !

Vous y trouverez des jeunes en train de filmer des canulars, de la drague et aussi de la drogue... des jeunes qui se regardent pdt des heures dans le miroir numérique en train de fumer la chicha ou pétard... Vous y trouverez aussi qques fois des témoignages intéressants (rarement)... des patients parfois (rarement) qui explique leur quotidien avec la maladie et les traitements. 

N'est-ce pas déjà une toute petite amorce d'éducation thérapeutique du patient... A réfléchir...Alors, pourquoi ne pas imaginer de nouvelles formes d'interventions thérapeutiques via ce nouvel outil?
A la manière du Doc sur Fun radio dans les années 90 !

Bref, allons à la rencontre de certains publics parfois éloignés++ des enjeux de santé. Chers soignants-éducateurs, périscope est p-ê une nouvelle porte numérique à franchir... courage, ça pique un peu les yeux et les oreilles au début et c'est surtout très consternant mais bon...


  Bonne découverte


futur : Haptocloner mon médecin ?

Le futur est en marche !

Une équipe japonaise de l’Université de Tokyo est actuellement en train de mettre au point une technologie appelée « Haptoclone » qui devrait donner une toute nouvelle dimension au concept de l’hologramme. Il serait en effet possible de faire intervenir dans les interactions le sens du toucher en plus de la vue, de la voix et de l’ouïe. De quoi "augmentée" la relation connectée entre soignant et soigné ! A voir?
Deux boîtes placées côte-à-côte émettent chacune des ultrasons qui permettent de dessiner des formes en fonction de leur fréquence et donc d’avoir l’impression de toucher le message que l’on nous envoie ! Exemples d’utilisations et explications de l’Haptoclone dans cette vidéo :

un petit photomontage méditatif sur le theme du cloud et des app orientée meditation

Des appli pour méditer : zenfie

biologie participative : Comment hacker les bactéries !

Les « biotiques synthétiques » sont en fait des bactérie dont on a modifié le patrimoine génétique afin de redéfinir artificiellement leur mission dans le corps humain (comme des petits soldats infiltrés)
Le terme bio-hacker est parfois utilisé pour désigner un individu expérimentant principalement les propriétés de l'ADN et d'autres aspects de la génétique, dans le cadre ou en dehors du cadre académique, gouvernementaux ou des laboratoires. Les bio-hackers sont comparables aux hackers informatiques. Le mot bio-hacker est un néologisme construit à partir des mots biologie et hacker.
en savoir plus sur ce nouveau mode d'hybridation entre biologie et informatique. L'ADN en devenant le code !



jeudi 14 avril 2016

Un label pour évaluer les applications santé


Une start-up française a mis au point le premier label européen collaboratif en santé mobile et connectée. Objectif : permettre aux éditeurs des applis santé d'améliorer la qualité des informations médicales délivrées aux utilisateurs.

http://m.topsante.com/medecine/medecine-divers/droits-des-patients/un-label-pour-evaluer-les-applications-sante-610646

mercredi 13 avril 2016

Guy Vallancien, chirurgien, son ouvrage « La médecine sans médecin »,

http://www.atelier.net/trends/articles/e-sante-remplace-machine-medecin-de-demain-aura-role-un-conseiller_441094

La machine pourrait peu à peu remplacer le médecin, en le dépossédant de son savoir-faire technique et chirurgical. Pour autant, ce serait une bonne nouvelle pour le patient. Le médecin sera d’autant plus disponible pour guider et rassurer son patient. Ou comment la machine en médecine peut humaniser davantage la relation médecin-patient. C’est, en tout cas, la prédiction qu’émet Guy Vallancien, chirurgien, membre de l’Académie nationale de médecine, président de l’Ecole européenne de chirurgie dans son ouvrage « La médecine sans médecin. Le numérique au service du malade », coll. Le Débat, Gallimard.

mardi 12 avril 2016

Forum Parlementaire de la Santé Connectée : Les enjeux d’aujourd’hui et de demain

Le Forum Parlementaire de la Santé Connectée, a surtout été l’occasion de faire rencontrer différents membres essentiels du secteur de la santé. C’est le premier pas d’un dialogue à grande échelle pour que des concepteurs aux distributeurs, chaque partie travaille dans le même sens.

http://www.objetconnecte.com/forum-parlementaire-sante-connectee-enjeux/

e-gestion de sa douleur : une étude confirme la pertinence d'une app réellement personnalisée (étude JMIR)

http://www.jmir.org/2015/1/e1/

Cette recherche a démontré qu'une intervention mobile Web basée qui adapte le contenu aux préférences et aux intérêts des utilisateurs peut être un outil efficace d'éducation thérapeutique pour l'auto-gestion de la lombalgie. Cette étude soutient la thèse que ces outils sont potentiellement rentables car il peuventt toucher un grand nombre de personnes. Les résultats sont prometteurs étant donné que l'intervention de l'app n'est ni accompagnée par les soignants professionnels, ni intégrée au sein d'une campagne de promotion de la santé, ce qui pourrait avoir fourni un soutien supplémentaire pour les participants. 

Tsara, un « serious game » pour mieux comprendre l’autisme

Un « serious game » ou jeu pédagogique, baptisé Tsara, propose d’aider ceux qui partagent la vie d’enfants autistes à trouver les bonnes réponses dans des situations du quotidien problématiques : chez le dentiste, au supermarché, à table ou dans la cour de récré.

http://www.tsara-autisme.com/

lundi 11 avril 2016

communication : un cours de systémie sur la logique circulaire

canal-U : Les développements de la e-santé aujourd'hui.

E-santé: qu’attendent (vraiment) les patients français?

Plus de 70% des Français effectuant des recherches santé sur Internet considèrent que les informations trouvées sont «claires et utiles». Ils sont également 63% à estimer que les informations santé disponibles sur Internet gagneraient en intérêt si elles étaient garanties par des professionnels de santé.

Source

L'Ecological Momentary Assessment (EMA) : l'art de faire des mesures "in vivo" !

"A Smartphone Ecological Momentary Assessment/Intervention “App” for Collecting Real-Time Data and Promoting Self-Awareness" voici des termes que l'on retrouve fréquemment dans la litterature anglosaxonne en e-santé.
EMA (A pour assessment)
EMI (I pour Intervention)
Il s'agit donc d'applications qui facilitent le recueil de données (en tps réel) en contexte, au quotidien du patient. Cette technique intéresse vivement la recherche, notamment pour effectuer des études longitudinales.


Un hackathon en santé : c'est quoi ?

Un hackathon est un événement où des développeurs se réunissent pour faire de la programmation informatique collaborative, sur plusieurs jours. Le terme est un mot-valise constitué de hack et marathon.

C’est à l'origine un rassemblement de développeurs organisés par équipe autour de porteurs de projet avec l’objectif de produire un prototype d’application en quelques heures. Sous forme de concours chronométré, l’équipe gagnante est généralement désignée par un jury à l’issue du temps imparti. La référence au Marathon se justifie par le travail sans interruption des développeurs pendant deux jours, généralement lors d'un week-end.



e-santé : les dix tendances à surveiller !

lien

  • "Des patients informés et actifs en ce qui concerne la gestion de leur santé. Pour preuve, au Royaume-Uni, 80% des patients utilisent Internet pour trouver des conseils de santé (selon le European Patients Forum 2015), sans forcément vérifier la validité des informations qu’ils trouvent.
  • Des établissements de santé confrontés à la problématiques de réduction des coûts et de gestion de leurs ressources. Aux Etats-Unis, une étude Accenture de 2015 a par exemple montré que les hôpitaux qui proposent les meilleures «expériences patients» ont des marges 50% supérieures à leurs concurrents.
  • Une offre de prestations de santé en self-service, pour des patients plus autonomes. Un tiers des patients américains admettent en effet être plus honnêtes quant à leurs soucis de santé lorsqu’ils s’adressent à des systèmes automatisés, que face à un médecin, selon une étude Healthy World.
  • A la recherche d’une meilleure expérience. Pour 70,6% des mères américaines, l’aspect pratique est un déterminant essentiel au moment de choisir son prestataire de santé.
  • Vers plus d’innovation ouverte. En favorisant les projets collaboratifs rassemblant professionnels de santé et patients autour d’une problématique, les établissements de santé peuvent améliorer leur compréhension des besoins des patients (notamment ceux atteints de maladies chroniques).
  • La gamification de la prévention. Ludiques et amusants, les jeux permettent de sensibiliser plus efficacement les patients, à l’image du jeu Packy and Marlon destiné aux enfants diabétiques, qui a permis de réduire de 77% les cas d’hospitalisation d’urgence.
  • La collecte de data de santé. Avec un potentiel estimé à 19 millions de dollars en 2018, le marché des wearables est en plein essor. Ces objets connectés permettent de collecter de nombreuses données et donc de prendre des décisions plus avisées en matière de santé.
  • Des outils pratiques, et mobiles. Selon une étude Healthy World, 49% des patients américains sont favorables au fait de recevoir des conseils de santé par mail entre deux visites médicales.
  • Un dossier patient partagé. En considérant que 70% des erreurs de prescriptions pourraient être évitées grâce à un meilleur partage des informations de santé, la question de la mise en place d’un dossier médical partagé est plus que jamais d’actualité.
  • Des interfaces intuitives. La santé étant un domaine sensible et où l’émotionnel est prépondérant, les objets connectés de santé les plus utilisés par les patients sont ceux qui sont simples d’utilisation et intuitifs."

Read more at http://www.frenchweb.fr/e-sante-les-10-tendances-a-surveiller/237401#QefZq0WOMBQiPKUZ.99

Le livre blanc de la santé connectée

Le livre blanc proposé par la société "withing" à consulter ici

quelques questions sont abordés dans ce document :
La santé connectée :
• Comment impacte-t-elle la pratique médicale ?
• Améliore-t-elle la santé des utilisateurs ?
• Faut-il adapter l’organisation du système de soins à ces évolutions ?

un extrait :
"Home telemonitoring et diabète
Les solutions de telemonitoring des patients diabétiques depuis leur domicile ont montré leur capacité à réduire significativement le taux d’hémoglobine glyquée. Une méta-analyse de 7 études randomisées de patients diabétiques de type II comparant les soins usuels à une gestion faisant appel aux nouvelles technologies de communication comprenant une télétransmission de la glycémie a mis en évidence une diminution moyenne de l’hémoglobine glyquée de 0,5% (1). Une étude avec un coaching par téléphone mobile a permis une réduction de l’hémoglobine glyquée de 1,2% au terme de 12 mois (2) – rappelons que selon les données de l’étude UKPDS, une réduction de 1% du taux d’hémoglobine glyquée permet une diminution de 14% du risque relatif de mortalité toute cause, de 14% du risque d’infarctus du myocarde et de 37% des complications microvasculaires. Au-delà de la transmission des données biologiques, les solutions mobiles peuvent incorporer des programmes éducatifs conformes aux recommandations. Par ailleurs, des initiatives de connexion directe aux dossiers médicaux sont en cours d’expérimentation."
(…) La m-santé et les objets connectés qui en sous-tendent l’usage ne vont pas simplement impacter la médecine, mais bien le parcours de soin dans sa globalité, et par là même le positionnement de l’assurance maladie ou des assureurs complémentaires, privés, mutualistes ou les institutions de prévoyance. Ce livre blanc a pour objectif d’illustrer et de détailler le basculement engendré par la m-santé en général et les objets connectés en particulier. Dans ce nouveau paradigme, on s’intéresse aux individus sains, non pas tant avec l’objectif de les guérir ou de les préserver d’une maladie que pour leur permettre une gestion optimale de leur santé, en fonction d’une évaluation continue de leur état. La médecine se dédouble selon les deux versants qui la constituent depuis l’antiquité : Hygiée (la prévention) et Panacée (le traitement). La division n’est pas nouvelle. Mais la prévention et la détection précoce disposent de nouveaux outils qui lui permettent de modifier en profondeur les pratiques. La m-santé et les objets connectés provoquent une deuxième révolution, celle du Big Data. Ils génèrent pour l’individu et la collectivité une masse de données inédite, qui crée de nouveaux savoirs. Cela change le paradigme même de la donnée de santé, dont la valeur réside dans le partage et la mutualisation. La constitution d’immenses bases de données sur l’activité physique, le poids, la tension de populations qui se suivent volontairement, et qui accepteraient de partager leurs données à des fins de recherche, peut faire progresser la recherche médicale de façon considérable. L’analyse de ces données donnera son plein potentiel pour autant qu’elles pourront être croisées avec d’autres sources, par exemples issues de la Sécurité Sociale… »

L’Education thérapeutique connectée pour faire évoluer l’alliance entre le médecin et son patient

"Avec le développement de la E-santé et des applications sur smartphone, la bonne observance des traitements est en train de prendre une forme totalement nouvelle avec l’essor des objets connectés. Dans un futur proche, un patient pourra de lui-même prendre les mesures de ses constantes biologiques et de caractéristiques physiques. Il pourra alors adapter son traitement en fonction des résultats archivés en suivant les consignes médicales partagées par le professionnel qui le suit." pour en savoir plus

Dans la peau d'un patient : deux vidéos pédagogiques et "immersives"sur la communication thérapeutique au bloc opératoire

"N'ayez pas peur ! ça ne devrait pas vous faire trop mal !"
Effet nocébo de la communication. Comment la suggestion négative participe à l'anxiété du patient ?
Cette vidéo montre notamment la manière dont la logique soignante n'est pas toujours écologique pour le patient.

Effets positifs de a communication thérapeutique... et hypnotique !
"Rassurez-vous ! Vous ressentez p-ê déjà un léger confort... p-ê une sensation agréable qui peut vous aider..."
https://www.youtube.com/watch?v=0Vn5uzcWQw4&nohtml5=False 


A quand la préparation 3d avant une intervention...video "positive" en 360... diffusion au patient sur un casque  vr type oculus rift. Un bon moyen de travailler sa phobie, non?




Rdv santé connectée à Monaco

Voir le programme http://connectedhealthmonaco.com/pre-programme/

La communication thérapeutique

Un peu d'étymologie...

•Communicare : mise en commun, partager
•Thérapeutique :  therapeutikós
(« attentif », « serviable », « curatif »).


Bref, tout simplement, la CT, c'est l’art de tisser une relation (un réseau) entre soignant et soigné de qualité.
Nous développerons prochainement la notion de réseau...

Le schéma de base... importance du retour (feed-back)




ETP

L’éducation thérapeutique du patient (ETP) « s’entend comme un processus de renforcement des capacités du malade et/ou de son entourage à prendre en charge l’affection qui le touche, sur la base d’actions intégrées au projet de soins. Elle vise à rendre le malade plus autonome par l’appropriation de savoirs et de compétences afin qu’il devienne l’acteur de son changement de comportement, à l’occasion d’évènements majeurs de la prise en charge (initiation du traitement, modification du traitement, événement intercurrents,…) mais aussi plus généralement tout au long du projet de soins, avec l’objectif de disposer d’une qualité de vie acceptable par lui. »

La e-santé

La e-Santé ou Santé numérique recouvre les pratiques qui dans le domaine de la Santé font intervenir les Technologies de l’Information et de la communication (TIC). Le terme Santé est à prendre au sens large et comme l’OMS le souligne, ne concerne pas que les maladies et l’homme malade mais est aussi relatif à un état complet de bien-être physique, mental et social. Le développement de la e-Santé s'appuie sur un domaine scientifique particulier, l'Informatique Médicale (ou Informatique de Santé), domaine qui a des liens étroits avec l’Informatique mais dont les problématiques sont spécifiques du domaine Santé.
source wikipedia